SEA CAMP > ALULA
Changement de décor : laissant derrière eux le Sea Camp, les concurrents ont quitté la plage pour affronter les roches et les montagnes. Cette deuxième étape a fait l’unanimité chez tous les participants : elle fut détestable ! Un terrain qualifié par Sylvain B. de « casse bonhomme et casse machine ». Seul point réjouissant : le spectacle des paysages de canyons, absolument époustouflants.
Un terrain piégé
Notre trio infernal, avec 3 petites heures de sommeil à son actif, a été malmené sur des pistes chaotiques interminables. Au menu, du caillou, rien que du caillou, à perte de vue ! À une quinzaine de kilomètres de l’arrivée seulement, alors que leur supplice touchait à sa fin, ils ont reçu un appel de dernière minute pour un problème mécanique. Là encore, malgré leur professionnalisme, l’intervention fut longue et le retour nocturne.
Nuits express
Deuxième étape, deuxième nuit plus que succincte ! La journée de repos semble vraiment loin pour les deux équipages qui doivent enchainer les épreuves en gardant le cap et le moral…